𝐔𝐧 « đŻđšđąđ„đž » đŁđžđ­đžÌ đŹđźđ« đ„đžđŹ 𝐬𝐭𝐚𝐭𝐼𝐭𝐬 đŸđžÌđŠđąđ§đąđ§đŹ 𝐞𝐭 đ„đž đ«đšÌ‚đ„đž 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐩𝐩𝐞𝐬 – đ‘đžđ đšđ«đđŹ đžđźđ«đšđ©đžÌđžđ§đŹ 𝐞𝐭 đ«đžÌđšđ„đąđ­đžÌđŹ đšđœđžÌđšđ§đąđžđ§đ§đžđŹ 𝐝𝐚𝐧𝐬 đ„đž 𝐏𝐚𝐜𝐱𝐟𝐱đȘ𝐼𝐞 𝐒𝐼𝐝


Rares sont les spĂ©cialistes qui questionnent l’impact de l’idĂ©ologie proprement europĂ©enne concernant les femmes sur la maniĂšre dont les rĂŽles et les statuts fĂ©minins des OcĂ©aniennes ont Ă©tĂ© apprĂ©hendĂ©s et considĂ©rĂ©s par les missionnaires, les administrateurs et les chercheurs (avant tout masculins) dans le Pacifique Sud. C’est Ă  cette question et Ă  celles qui en dĂ©coulent que cette confĂ©rence s’intĂ©resse. Elle Ă©voquera les idĂ©ologies du XIXe siĂšcle, notamment français​es, qui, aprĂšs le bouillonnement d’idĂ©es qui a prĂ©cĂ©dĂ© et accompagnĂ© la RĂ©volution ​d​e 1789, y mettent fin de maniĂšre radicale, avec de nouvelles formes de soumission, entre autres fĂ©minines. Quels regards sont alors portĂ©s sur les femmes ocĂ©aniennes ? Regards dont le prolongement, aujourd’hui encore, jette un voile notable sur leurs rĂŽles et leurs statuts, jusqu’à Ă©luder parfois un certain nombre de possibles thĂšmes de recherche.

Une ConfĂ©rence de đ…đ«đšđ§đœÌ§đšđąđŹđž 𝐂𝐚đČđ«đšđ„, Anthropologue UNC et coordinatrice des Presses Universitaires de la Nouvelle-CalĂ©donie

Jeudi 25 septembre 2025 Ă  18h15, Salle Sisia
đ„đ§đ­đ«đžÌđž đ„đąđ›đ«đž 𝐞𝐭 đ đ«đšđ­đźđąđ­đž (dans la limite des places disponibles)
Informations : 41.45.45 – centretjibaou.nc

Visuel : © ​Françoise Cayrol

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